Notre ami, notre poète, amant de la montagne
Nous t'avons toujours aimé sans vraiment te connaitre
Chanteur de l’amour du pays de cocagne
Nous pleurerons ton absence, douleur de notre être
Tant de joies, de bonheur enfantés par tes airs
Et tes mots merveilleux endormant nos douleurs
Que de fois dans la nuit, traversant le désert
J’ai chanté ta musique pour exiler ma peur
Ton cœur était fragile, tu l’avais dit un jour
Et tu voulais mourir, garder la porte ouverte
À l'ombre du figuier, elles passaient les amours
Et toi tu attendais sur ton ile déserte
Je te dois beaucoup plus que je ne peux le dire
Et ta voix dans mon âme a jadis jeté l’ancre
Je te dois la douceur, la gaieté, le plaisir
De chanter, de tremper ma tristesse dans l’encre
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Nous t'avons toujours aimé sans vraiment te connaitre
Chanteur de l’amour du pays de cocagne
Nous pleurerons ton absence, douleur de notre être
Tant de joies, de bonheur enfantés par tes airs
Et tes mots merveilleux endormant nos douleurs
Que de fois dans la nuit, traversant le désert
J’ai chanté ta musique pour exiler ma peur
Ton cœur était fragile, tu l’avais dit un jour
Et tu voulais mourir, garder la porte ouverte
À l'ombre du figuier, elles passaient les amours
Et toi tu attendais sur ton ile déserte
Je te dois beaucoup plus que je ne peux le dire
Et ta voix dans mon âme a jadis jeté l’ancre
Je te dois la douceur, la gaieté, le plaisir
De chanter, de tremper ma tristesse dans l’encre
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