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mardi 27 juin 2017

Nos proches,





Nos proches,

          La famille sera toujours notre attachement car même si on ne veut pas y croire elle nous sera toujours secourable, elle sera présente dans le bonheur et le malheur.

        Tes amis seront là, présents, mais ceux-ci ne seront pas toujours aussi présents, aussi fidèles et humains que tu crois car ils sont confrontés à leurs problèmes et cela tu n’y pourras rien.

     «   La chance et l’avenir a ceux qui le méritent et surtout à ceux qui y croient ».

      On dit toujours que le malheur des uns fait le bonheur des autres !

Mais le mien n’a jamais fait le bonheur des autres, il a surtout contribué à m’enfouir de plus en plus dans ce sable mouvant ou même les pleurs ne pourront me faire remonter à la surface.

           En réalité je ne vis qu’avec le passé, ce passé si beau et si cruel à la fois.

          Mon espérance à fuit dans ce dédale des tourments de la vie.

          J’aimerais refermer le journal de mon âme, vivre sans le passé tel un plat histogramme.

         Quand la page accumule les douleurs des années, l’encre bleue s’acidule par les maux acharnés.

        Avec une allumette, je ne veux qu’enflammer ce journal indigeste condamnant mes pensées, les imprimés ratés et les maux périodiques doivent être flambés avant l’ère italique.

       Aujourd'hui je ne fais que cauchemarder, mais comme je le dis toujours, tout est écrit. 

      Le destin s'amuse avec nos sentiments, pour certain le rire et les opportunités et pour d'autres l'inquiétude et le tourment.

      On croit que tout va bien, que ce n'est qu'une passe, mais pas du tout, au fur et mesure tout s'entasse.

     Je suis le temps qui passe, qui ne reviendra pas, qui ne sera vu qu’une fois, ici, quoi qu’il se passe.

    Un temps qui se mesure, un temps qui se prévoit, qui manquera de choix, qui file à toute allure. Un temps qui prend de l’âge, ou fait de tentations qui fait vivre des présages, en changeant les moments.
 
     Le temps prend son temps, faisant vivre l’éternité, et nous un instant.


Mon âme dirige mes mots et mon regard, sans crainte, ni  folie, ne se reflète que dans  le miroir de mes écrits.




vendredi 16 juin 2017

Une page de vie





Une page de vie,

La réalité, le rêve, la joie, la tristesse.

Au milieu de nulle part, vivait un homme, sa vie était à l’image du monde qui l’entourait, triste et indéfinie. Il n’avait pas vraiment de buts, pas de rêves, il se contentait juste de s’évader de ce vide vertigineux qui l’englobait. Pourquoi vivait-il ? « Le vide est porteur d’espoir » se répétait-il sans cesse.

Il ne savait pas exactement le sens de cette phrase, mais elle était très importante à ses yeux car elle représentait à elle seule sa raison de vivre ou plutôt de survivre dans un monde qu’il trouvait hostile à toute source d’espoir.
Il referma les yeux car c’était pour lui le seul moyen d’oublier, oublier sa solitude et l’hostilité de tout ce qui lui était étranger, le vide est porteur d’espoir mais dois-je encore espérer ?

Lorsque soudain il sentit une main se poser délicatement sur son épaule. Il se sentit rassuré, il avait tellement imaginé et espéré ce moment !
L’homme sourit et au moment il allait ouvrir les yeux, une douce et rassurante voix féminine lui murmura à l’oreille comme dans un rêve « regarde ton cœur ».
L’homme se retourna, fixa la mystérieuse inconnue dans les yeux, il se sentait enfin à sa place. Il sentit son cœur se remplir de tout ce qui lui avait toujours manqué.
Sombre oui, mais d’une certaine manière cette être prend grand place en chacun de nous. Ce monde, peut-être le nôtre, à certains moments de notre vie. Nous avons tous envie de fermer les yeux lorsque la vie nous fait souffrir.

S’il n’y a pas de fin à cette histoire, c’est probablement parce que nous avons tous une conception différente du bonheur.

Laisse place à ton imagination et… regarde avec ton cœur.

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La valeur de la vie




Contre vents et marrées, je me bats contre mon passé.
Mais aujourd'hui, il m'a rattrapé.
Doux souvenir du temps d'avant où ma vie avait un sens et du goût.
Je m'efforce de ne pas regretter le passé.
Mais il y a toujours des jours comme ça où tout est noir , sans espoir.
Le passé, la nostalgie et le regret, je connais que trop.
Toutes ces personnes qui m'ont donné tant de bonheurs ,
Et qui m'ont laissées seul.
Combien de fois j'ai pleuré en silence.
Trouverai-je un jour la force de ne plus regarder en arrière ?
Je ne crois pas.
Car malgré les années mon âme et mon cœur n'oublient jamais.
Il y a des jours comme ça, où plus rien ne va, on attend plus rien de la vie.
On voudrait qu'elle nous sourît et seules les larmes viennent,
Pourquoi tant de tristesse ; pourquoi tant de faiblesse,
Qui sommes-nous pour payer ce lourd tribu,
Qu'avons-nous fait de mal,
Nous n'avons que notre âme pour seul arme.
Utilisons notre plume pour soulager nos cœurs ;
Unissons notre flamme pour gagner ce combat.
Doucement la nuit prend place là où le jour s'enfuis sans bruit.
Je contemple les étoiles dans le ciel...
il est déjà presque minuit...et je me dis...

Tu apprendras que le temps ne peut revenir en arrière. Tu dois cultiver ton propre jardin et décorer ton âme, au lieu d’attendre que les autres te portent des fleurs… 

Tu découvriras que souvent nous prenons à la légère les personnes qui nous importent le plus ; et pour cela nous devons toujours dire à ces personnes que nous les aimons, car nous ne savons jamais si c’est la dernière fois que nous les voyons…

Alors, et alors seulement, tu sauras ce que tu peux réellement endurer que tu es fort, et que tu pourrais aller bien plus loin que tu le pensais quand tu t’imaginais ne plus pouvoir avancer !
C’est que réellement, la vie n’a de valeur que si tu as la valeur de l’affronter !
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lundi 12 juin 2017

Le bien être





                                   Reconnaître une véritable amitié.

          C’est un sentiment de complétude, une évidence, un instinct.
                                           Le bien-être, en somme.

                       S'engager dans une véritable amitié, c'est accepter l'idée de l'entraide, d'un soutien dans les bons et les mauvais moments. 
                     La loyauté fait partie intégrante de l'amitié : loyauté envers la personne, mais également envers la relation. 
                                                    Autrement dit ? 
                    Faire le nécessaire pour l'entretenir, rester disponible, monopoliser du temps, donner des nouvelles… Ne jamais la renier, ne jamais renier un ami. 
Et si ce pacte est trahi et qu'un ami manque, consciemment, un événement fort de votre vie ? 
S'il dénigre votre relation face à un tiers ? Pardonner peut-être difficile, et l'amitié peut se rompre ou se distendre.

           Il y a beaucoup d'amis ordinaires et seulement quelques amis véritables. 
De ceux qui sont là envers et contre tout, de ceux qui rient et pleurent avec nous…
De ceux dont on sait, avec force et conviction, qu'ils nous apprécient tels que l'on est. 


      La certitude de se savoir aimé est une clé de l'amitié : elle garantit cette liberté de parole indispensable à une relation honnête. 

      Dans une amitié profonde, la franchise est la norme, agréable ou pas ! Un tel degré d'intimité réclame une confiance absolue, et donc du temps. 
Une véritable amitié ne s'établit vraiment qu'après avoir partagé le meilleur et le pire, traversé fous rires et disputes, surmonté les dissensions… exactement comme en amour.


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vendredi 9 juin 2017

Le silence




                  Une relation naît de la communication, verbale, écrite, voire tactile.

      Quelle que soit la forme de la rencontre, pour qu'il y ait lien il faut qu'il y ait "contact". Cela se produit généralement par un mouvement spontané de l'un vers l'autre, sans volonté consciente : un jour on se rend compte qu'un lien a été établi.

                 Pour différentes raisons il arrive que, par la suite, l'une des deux personnes décide qu'elle ne désire plus être dans le même élan. Dès lors apparaît un "silence", donc une "distance", qui ne représente que le décalage d'investissement de chacun des partenaires dans la relation. L'un ou l'autre n'ont plus le même désir de communication. C'est un point d'inflexion, temporaire ou durable, dans la construction du lien. Il est déstabilisant puisqu'il marque une "rupture" dans la dynamique relationnelle. Il va nécessiter une adaptation volontaire, et non plus spontanée, aux besoins de l'autre. L'un souhaite "plus", tandis que l'autre désire "moins".
                  Le silence relationnel est la marque de cette divergence. Mal géré, il peut aboutir à des tensions d'autant plus fortes que le lien affectif est soutenu. Et chaque partenaire risque d'être tenté par une imposition de son point de vue, alors que les besoins sont contradictoires.
                  Il n'y a aucun intérêt à entrer dans une logique d'opposition, sous peine de blesser la relation. Imposer le silence est tout aussi violent que d'imposer la parole. L'écoute des besoins de l'autre, du moment qu'ils sont exprimés, et la base du respect et de la confiance.
                 Une autre forme de silence imposé existe aussi sous des formes plus pernicieuses. Il s'agit du silence comme instrument de chantage affectif. Ou pour être plus cinglant : comme instrument de torture. Le pouvoir de celui qui impose le silence est imparable. D'une certaine façon l'autre est obligé de s'y soumettre... Toute tentative de restauration de contact devient intrusive, donc potentiellement aggravante.
                 Savoir que l'autre souffre du silence, ne pas réagir face à cette souffrance, ne pas chercher à l'apaiser, peut donner un grand pouvoir. Tout en sachant que la réciproque est vraie en matière de chantage affectif : exprimer sa souffrance en vue de rompre un silence insupportable est aussi une forme de manipulation tendant à la culpabilisation de l'autre.
               Le silence est une façon de dire « je ne souhaite pas être en relation avec toi en ce moment ». Ces mots sont sans doute difficiles à exprimer, et à entendre.
               Et le minimum qu'on puisse attendre d'une relation de confiance, c'est que les choses soient dites. Le silence non expliqué est une fuite qui laisse à l'autre le soin de trouver tout seul les explications manquantes. En ce sens le silence imposé est un puissant destructeur de confiance. Tout comme la communication construit une relation, le silence non-expliqué (non communiqué) détruit. Le silence imposé est un acte mortifère dans une relation.
              Et cet essentiel peut parfois être de dire simplement : ton silence m'inquiète.

              Ce qui est certain, c'est que du silence ou de la parole, la seule chose qui détruise la relation est la non-écoute des besoins de l'autre.
              Celui qui a eu besoin de silence peut vouloir se ressourcer ailleurs . Et si le temps de silence conduit à un éloignement... c'est qu'il devait en être ainsi, parce que la vie est mouvement et constante évolution. On ne force pas les choses en matière de ressenti : c'est ou ce n'est pas, et la volonté n'y peut rien.
               Il y a un silence dont je n'ai pas parlé : quand il n'y a plus rien à se dire. Quand le temps de relation est passé dans une sorte de vide affectif, ne persistant que par habitude ou conventions. Je pense à certains liens qui n'ont plus rien à se dire dans leur vie de cohabitation. Mais peut-on encore parler de relation, lorsque c'en est à ce point ?



jeudi 8 juin 2017

Solitudes intérieures





La pire des solitudes est la solitude intérieure.
On peut ne pas être seul dans la réalité de la vie, être entouré, avoir des amis, des relations, avoir un but même…
                                                Et Pourtant !
             Pourtant tu ressens ce sentiment de désolation intérieure, ce sentiment naît de cette distance toujours ressentie entre soi et le monde, entre soi, et les autres…
            Décalage involontaire et douloureux, car, malgré tous les efforts, on continue à se sentir si seul. Loin des autres. Incompris aux creux de soi par les autres.
          Même par ceux qui, de toutes, leurs forces, avec tout leur amour, tentent de comprendre. Tentent de s’approcher. 
                                                En vain…
                  Et tu retrouves cet ennui incisif, dérangeant, culpabilisant.
                 Un ennui paradoxal qui survient trop souvent sans prévenir.  
          C’est l’ennui le plus terrible car il demande une grande énergie : Il te faut trouver des conversations intéressantes, toutes les vies de ces gens si passionnantes, toutes les anecdotes de leur quotidien si palpitantes.
            Et, s’intéresser à leur métier, à leurs enfants, à leur conjoint…
           Tu fais des efforts. Tu leur parles, tu t’intéresses à leur propos, à leurs histoires. Tu leur réponds. Tu essaies d’être sociable. Mais cela te demande de la concentration et beaucoup d’énergie.
          Et tout d’un coup, presque sans t’en rendre compte, tu décroches. Ton regard devient flou, ton attention flotte, tu es ailleurs.
         Parfois tu parviens à te reconnecter avec beaucoup d’efforts. Une grande comédie humaine !
         Finalement, une forme de lassitude s’installe, les plaisirs se fanent, les événements perdent leur éclat, et les sentiments se décolorent…
La pire des solitudes s’installe une bonne fois pour toute quand on perd ceux qui nous sont chers, la vie change, la vie n’a plus aucun sens…c’est la déprime et on lutte…contre le spleen.
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mercredi 7 juin 2017

L'évidence





Pendant que je dors je n`ai que la poésie et mon cœur
Mais je suis plein de remords pas de larmes malgré ces malheurs 
Quand je me lèverai, tout malheureusement restera pareil
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J'écris un recueil
Où mon amie se reconnaîtra
Où l’amitié, souffrance se reconnaîtront
Dont les paroles ne seront que visibles
Je dissipe l'amertume
Comme quelqu'un qui aime et souffre
De la manière la plus sensible
Un homme qui vivement se cherche
Ma vie, ma pauvre vie
Cet homme sans amour
Qui bientôt fermera les yeux
Oubliant même les beaux jours
J'écris un recueil
Qui fait réveiller les gens
Ainsi que les personnes sages.
J`entends dire que pour croire
L`échec me rend sans pouvoir
C`est difficile à voir
Impossible sans se désister
En réalité tout est possible
La mer peut un jour ne plus être
Le soleil peut un jour ne plus apparaître
Ne vivre qu`en un cœur toujours
J`aime, évidemment sans le vouloir
Subir les désirs de la vie
Ma vie, c`est celle d`un être sans rien.
Je vais difficilement de mes pas lourds sur des chemins qui luttent mais se fondent. Lutte interminable dans ce petit monde où même m`a abandonné l`humour 
Je ne sais pas si je peine à présent ou si je ne suis plus ce que je suis.
Mais ma vie, elle n`est plus ce qu`elle était avant.
Pour les perdus il y a encore de l‘espoir je me le dis même si je peine à y croire.

lundi 5 juin 2017

Espoir






Si tu es las et que la route te paraît longue
Si tu t'aperçois que tu t'es trompé de chemin
Ne te laisse pas couler au fil des jours et du temps
Recommence...
Si la vie te semble trop absurde
Si tu es déçu par trop de choses et trop de gens
Ne cherche pas à comprendre pourquoi
Recommence...
Si tu as essayé d'aimer et d'être utile
Si tu as connu ta pauvreté et tes limites
Ne laisse pas là une tâche à moitié faite
Recommence...
Si les autres te regardent avec reproche
S'ils sont déçus par toi, irrités
Ne te révolte pas, ne leur demande rien
Recommence...
Car l'arbre rebourgeonne en oubliant l'hiver
Car le rameau fleurit sans demander pourquoi
Car l'oiseau fait son nid sans songer à l'automne
Car la vie est espoir et recommencement.
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Sourire



Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup
Il enrichit ceux qui le reçoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent
Il ne dure qu'un instant
Mais son souvenir est parfois éternel
Personne n'est assez riche pour s'en passer
Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter
Il crée le bonheur au foyer
Il est le signe sensible de l'amitié
Un sourire donne du repos à l'être fatigué
Rend du courage au plus découragé
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler
Car c'est une chose qui n'a de valeur
Qu'à partir du moment où il se donne
Et si quelquefois vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire
Soyez généreuse, donnez-lui le vôtre
Car nul n'a autant besoin d'un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres.
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samedi 3 juin 2017

Mes rêves





Ne m'enlevez pas mes rêves.
Que ferais-je ?
Si je devais vivre sans quelques rêves
Je verrais le monde en noir et blanc, sans couleurs
Permettez-moi de broder en moi, de très belles trêves
Qui me feront oublier, de cette vie, la pauvre froideur.
 Si je devais imaginer la main tendue

Comme une illusion ou pire, une simple mascarade
Je n’oserais plus, devant vous mettre mon cœur à nu
C'est pour cela, que je construis de tendres escapades.
 Si je devais ne plus croiser le ciel bleu
Et juste regarder la terre sombre, semblable au néant
J’éviterais de prier, afin que Dieu n’accuse ma vie
J'attendrai que vienne, le terrible marchand du temps.
 Si mon miroir devait se briser en morceaux
Je ne verrais plus l'éclat, de mon visage aux tendres éclats
Je n'irai plus certes, à la quête de mots toujours nouveaux
Je n'attendrai que la fin de ma vie et l'heure du vieux glas.
 Si je devais rester assis à constater cette vie
Et la valse des secondes, qui se meurent sans explications
Non de grâce, laissez-moi tous mes rêves, je vous en supplie.
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Le défi






Le défi

Chaque jour qui passe pour moi est un nouveau défi
J''ose, j''espère et je veux mettre un pied devant l''autre
Et croquer encore, avec appétit dans ce morceau de vie
Car de l''amour en ce monde, je suis devenue l''apôtre.

Même si mon cœur usé est brisé en mille morceaux
Je le cache, et à mon visage, j''accroche un sourire
Et de tout mon être, j''arrache les terribles oripeaux
Qui me font tant souffrir, sans pouvoir en mourir.

Je regarde le bel horizon, qui semble lointain, hélas
Je puise dans les forces pour avancer dans l''espoir
Tout au fond de moi, résonne sans fin, le froid glas
Je ne veux plus de la route, qui ne me mène nulle part.

J''écoute mon ami le vent qui me murmure à l''oreille
Que le combat est à mener et cela sans avoir de pitié
Que loin de cet endroit, il y a de tendres merveilles
Même si, comme toujours, il y a un lourd prix à payer.

Qu''elle que soit la force, qui m''anime en ce doux jour
Je l''en remercie, j''en retrouve certes, la confiance
Fièrement, j''avance, j''entends en moi, le bruit sourd
De la vie qui coule en moi, telle une simple évidence.
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