Heureux ou malheureux
A ces questions les réponses sont miennes !
Heureux est un grand mot…
Réussir sa vie, c’est construire un édifice en trois dimensions : matérielle, relationnelle et émotionnelle. Autrement dit : atteindre ses objectifs, tout en préservant de bonnes relations et une bonne image, sans pour autant sacrifier son bien-être. Pour moi je pourrais dire que la vie me satisfait à peu près.
Vivre dans une région ou merveilles et beauté ne peuvent que m'apporter un plaisir des yeux. C'est un choix que j'ai fait.
Mais cette vie de solitude est compliquée, cette nostalgie qui vous gagne quand vous n'êtes pas un enfant de ce beau pays, vous laisse évidemment dans une torpeur ou le beau ne se partage pas avec le bien...
Quelque soit dans l’état d’esprit que je vis ou que je voudrais vivre.
La meilleure des armes contre le malheur, et la plus agréable à utiliser, c’est sans doute de profiter encore mieux des bons moments "quand ils sont là" que m'offre mon existence.
Heureux est un grand mot…
Réussir sa vie, c’est construire un édifice en trois dimensions : matérielle, relationnelle et émotionnelle. Autrement dit : atteindre ses objectifs, tout en préservant de bonnes relations et une bonne image, sans pour autant sacrifier son bien-être. Pour moi je pourrais dire que la vie me satisfait à peu près.
Vivre dans une région ou merveilles et beauté ne peuvent que m'apporter un plaisir des yeux. C'est un choix que j'ai fait.
Mais cette vie de solitude est compliquée, cette nostalgie qui vous gagne quand vous n'êtes pas un enfant de ce beau pays, vous laisse évidemment dans une torpeur ou le beau ne se partage pas avec le bien...
Quelque soit dans l’état d’esprit que je vis ou que je voudrais vivre.
La meilleure des armes contre le malheur, et la plus agréable à utiliser, c’est sans doute de profiter encore mieux des bons moments "quand ils sont là" que m'offre mon existence.
Savourer le bien-être lorsqu'il est présent, l’intensifier...
Malheureux est aussi un grand mot...
Il ne se partage pas, il est présent sans que l'on sache pourquoi...c’est celui du manque, du non plaisir. Bien sûr qu’il y a des éléments qui dépendent de moi. Une réussite sociale qui vous laisserait malheureux n’est plus comme un idéal de vie réussie. Une grande part de mon malheur vient de la place exagérée que je me fais aux émotions "hostiles". Elles sont parfois intenses et tournées contre des personnes précises (rancœur, ressentiment, jalousie, etc.). Le plus souvent, elles prospèrent parce que je privilégie mon besoin d’avoir raison.
Bien entendu, personne ne veut être malheureux !
Nous ne faisons pas consciemment ses choix !!!