C'est l'égoïsme des incrédules
Des gens du crépuscule
Qui font que les gens sombrent
Dans les méandres de la pénombre
Le monde est bien trop cruel
La fin de ce règne n'aboutira pas en lueur
Les êtres sont trop pervers et sous tutelles
Qu'une liberté d'expression n'est point la leur
Cachés derrière ce rideau odieux
Lâches et sans convictions
Mais langues de vipère, ô mon dieu
Volent, fusent en continuité, qu'elle obsession...
Je suis las de ces gens
Je ne cherche plus à les raisonner
C'est peine perdue, je le sens
Alors ni ma main, ni mon cœur iront vers eux, j'ai signé
Je parle des gens qui font qu'on sombre...
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