Mon âme à son secret,
ma vie à son mystère.
Un
amour éternel en un moment conçu : Le mal est sans espoir, aussi j'ai dû le
taire, et celle qui l'a fait n'en a jamais rien su.
Hélas ! j'aurai passé
près d'elle inaperçu, toujours à ses côtés et pourtant solitaire.
Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, n’osant rien demander et n'ayant rien reçu.
Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, n’osant rien demander et n'ayant rien reçu.
Pour
elle, quoique Dieu l'ait faite douce et tendre, elle suit son chemin, distraite
et sans entendre ce murmure d'amour élevé sur ses pas.
À l'austère devoir pieusement fidèle, elle dira, lisant ces vers tout remplis d'elle :
À l'austère devoir pieusement fidèle, elle dira, lisant ces vers tout remplis d'elle :
« Quelle est donc cette
femme ? » Et ne comprendra pas !
Sourire à ce passé, à nos
conversations, aujourd'hui délaissées, en points de suspension, en gardant
les souvenirs au fond de ma mémoire.
Veiller à tous ces rires, ces éclats de bonheur, ne plus jamais vieillir bien que passent les heures.
Juste arrêter le temps pour que l'éternité, en cet ultime instant, ait cessé d'exister.
Que fais-je encore ici ? Pourquoi quand tout s'écroule et tombe autour de moi dans les bras du néant, pourquoi nager encore sur le flot qui me roule au-dessus du gouffre béant ?
Pourquoi rêver toujours, quand chaque jour qui passe emporte tout ?
Veiller à tous ces rires, ces éclats de bonheur, ne plus jamais vieillir bien que passent les heures.
Juste arrêter le temps pour que l'éternité, en cet ultime instant, ait cessé d'exister.
Que fais-je encore ici ? Pourquoi quand tout s'écroule et tombe autour de moi dans les bras du néant, pourquoi nager encore sur le flot qui me roule au-dessus du gouffre béant ?
Pourquoi rêver toujours, quand chaque jour qui passe emporte tout ?
Que l'amitié soit donc
notre partage ; Dans son lien notre cœur sera bien.
Que l'amitié chez nous
soit l'apanage du sentiment.
Quand le cœur est constant, son lustre est plus brillant, rien n'en ternit l'image.
Voir fuir à l'horizon, comme un brillant nuage, le bonheur que l'on cherche et que l'on suit en vain ;
De regrets en regrets, de mirage en mirage, poursuivre lentement son pénible chemin, souvent, découragés, jeter un œil d'envie vers le repos du soir.
Souffrir, toujours souffrir ! Tel est mon destin dans ce triste désert qu'on appelle la vie.
Quand le cœur est constant, son lustre est plus brillant, rien n'en ternit l'image.
Voir fuir à l'horizon, comme un brillant nuage, le bonheur que l'on cherche et que l'on suit en vain ;
De regrets en regrets, de mirage en mirage, poursuivre lentement son pénible chemin, souvent, découragés, jeter un œil d'envie vers le repos du soir.
Souffrir, toujours souffrir ! Tel est mon destin dans ce triste désert qu'on appelle la vie.
Crois-tu pouvoir réduire
en cendres mes pauvres souvenirs passés ?
Pour moi, je ne puis me déprendre de tant de rêves amassés.
Pour moi, je ne puis me déprendre de tant de rêves amassés.
L'amitié seule est le vrai bien.
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