Le
temps qui passe
Creuse rides et sillons
Dans les prés, dans les montagnes et sur nos visages.
Le temps qui passe
Courbe les droites les plus fières
Et alourdit nos pauvres vertèbres.
Mais regarde au fond de tes yeux,
Une étincelle sommeille,
Le temps passe trop vite.
Le temps est menteur,
Il ne donne jamais la bonne heure.
Creuse rides et sillons
Dans les prés, dans les montagnes et sur nos visages.
Le temps qui passe
Courbe les droites les plus fières
Et alourdit nos pauvres vertèbres.
Mais regarde au fond de tes yeux,
Une étincelle sommeille,
Le temps passe trop vite.
Le temps est menteur,
Il ne donne jamais la bonne heure.
Le
temps est assassin,
Il tue les lendemains.
Mais le temps offre un avantage,
Qu'on appelle Le privilège de l'âge,
Enfant, je suis ignorant,
Adulte, je chemine en balbutiant
Et à l'orée de ma vie, je savoure à l'infini.
Il tue les lendemains.
Mais le temps offre un avantage,
Qu'on appelle Le privilège de l'âge,
Enfant, je suis ignorant,
Adulte, je chemine en balbutiant
Et à l'orée de ma vie, je savoure à l'infini.
Mais
jamais comme il le faut.
C'est un chronomètre incertain,
Qui nous prend en défaut.
Les épreuves s'étirent à l'infini,
Les bonheurs passent, secondes de folie
Et il ne nous reste qu'une poignée de sable pour vivre notre vie.
Le temps court après le temps,
Mais il nous joue des tours,
Il fuit, comme un oiseau dans la nuit,
Il s'écoule entre nos doigts gourds,
Ses grains alternent les jamais et les toujours
Le temps court et ne nous laisse aucun sursis.
C'est un chronomètre incertain,
Qui nous prend en défaut.
Les épreuves s'étirent à l'infini,
Les bonheurs passent, secondes de folie
Et il ne nous reste qu'une poignée de sable pour vivre notre vie.
Le temps court après le temps,
Mais il nous joue des tours,
Il fuit, comme un oiseau dans la nuit,
Il s'écoule entre nos doigts gourds,
Ses grains alternent les jamais et les toujours
Le temps court et ne nous laisse aucun sursis.